article du Parisien

Article paru dans le Parisien de cette semaine :

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Comments

[Rédigé par : LADMIRAL]

Nous ne connaissions pas l'article de juillet 2009 sur les squats du quartier Antoine Thomas. Ceci nous fait frémir, et je pense immédiatement au film "l'hiver 1954" et à toutes les démarches qu'il avait fallu organiser pour les pauvres et démunis, y compris à l'Assemblée Nationale.
C'est honteux que de fermer les yeux devant ce sujet,et parler de rapports conviviaux ( cf l'article) . C'est écoeurant que de voir "nos élus de la majorité municipale" lever les bras au ciel ou tourner les talons, c'est outrageant que de s'entendre dire que ce sont les élus de droite qui ont fait le nécessaire pour les expulser.( faites ce que je dis mais pas ce que je fais)
Pour nous, c'est une non assistance à personne en danger, au vu des nombreux lieux à Ivry sur seine, où des refuges pourraient être construits à moindre coût et mieux répartis sur la commune.
Bruno, c'est toi, l'année dernière qui avait eu l'idée de longue haleine de recenser sur Ivry tous les lieux adequat...
Cordialement à tous.

[Rédigé par : Nelly Thémé (quartier Barbusse)]

ben oui, ça s'arrange pas à IVRY-SUR-SEINE !!!! on a intérêt à faire attention à ses sacs dans les bus encore plus qu'avant ... sans compter les poubelles fouillées tous les jours par ces personnes qui en mettent partout. De ce fait, Ivry est encore plus sale qu'avant ... Bravo Monsieur le Maire !!!!

PS. Dommage on arrive pas à lire l'article comme il faut ...

[Rédigé par : Chramosta]

Comment est-il possible que les vielles constructions, les hangars, les futures bidonvilles, sont laissée sur place après le relogement des habitants au lieu de les démolir rapidement. J'habite ici depuis 22 ans, mais ces horeurs sont toujours ici. On se croyrait aux temps de Zola. La salté, l'insécurité qui grandisent. On parle depuis 1972 d'élargir la rue et faire des nouveaux aménagements du quartier. Mais rien. Et on y vit. Pas bien du tout.
En plus les taxes, local ou foncière ne baissent pas. Pour le prix, on peut avoir le paradis.